L’objectif, c’est de pulvériser les idées reçues sur l’apprentissage des langues. Dora Vinérier-Boc, la fondatrice de l’école Rock The Talk, va ouvrir son second centre à Tours, boulevard Jean-Royer, un an après son premier, à Montrichard (Loir-et-Cher). Et pour les amoureux des langues, « de 6 à 110 ans », des cours seront proposés à partir du mois d’octobre, après quelques retards pris pendant les travaux. Mais pas de quoi effacer le sourire du visage de la fondatrice : « Il y aura deux, voire trois salles de cours, mais aussi une cuisine en haut, avec une superbe vue sur la place de Strasbourg », s’enthousiasme-t-elle.
Dora Vinérier-Boc a déjà commencé à constituer son équipe de professeurs. À Tours, elle peut compter sur Laura, originaire d’Afrique du Sud, Carmen, une Espagnole, Carlos, un Bolivien, ou encore Liat, originaire d’Israël.
En effet, elle ne souhaite pas faire de ses élèves des locuteurs parfaits. « On ne devient pas bilingue en suivant des cours pendant une heure par semaine pendant un an, souligne-t-elle. Les élèves se fixent des objectifs, comme pouvoir se faire comprendre lorsqu’ils voyagent, développer une compétence pour leur travail, ou simplement découvrir une autre culture. Et même à l’âge adulte, une fois qu’ils ont un objectif à atteindre, les élèves peuvent faire de gros progrès, s’ils s’impliquent assez. »
Pour cela, beaucoup de cours se déroulent en dehors des murs. « Pour les enfants, on peut, par exemple, aller sur le marché pour apprendre les aliments, mais il y aura aussi des ateliers sportifs, de cuisine, des cours de premiers secours ou encore des entraînements pour savoir comment se présenter en public ou lors d’un entretien. » Autant d’activités qui visent à rendre les élèves actifs et à les pousser à communiquer. « À l’école, souvent, les élèves ont peur du ridicule ou de faire des erreurs, lorsqu’ils s’expriment, indique Dora Vinérier-Boc. Nous voulons combattre ça, en montrant que la langue n’est pas un art, mais un outil. »
Dora Vinérier-Boc a déjà commencé à constituer son équipe de professeurs. À Tours, elle peut compter sur Laura, originaire d’Afrique du Sud, Carmen, une Espagnole, Carlos, un Bolivien, ou encore Liat, originaire d’Israël.
Un apprentissage qui s’appuie sur des ateliers
Pour l’heure, l’anglais et l’espagnol seront les seules langues enseignées, mais la fondatrice de Rock The Talk envisage, s’il y a de la demande, de proposer des cours de mandarin ou d’allemand. « Mais pour transmettre une langue, il ne suffit pas d’être natif, insiste-t-elle. Nous misons sur l’interaction et l’oral, sans passer par des cours très stricts, avec des tâches plus simples mais que le cerveau pourra reproduire. »En effet, elle ne souhaite pas faire de ses élèves des locuteurs parfaits. « On ne devient pas bilingue en suivant des cours pendant une heure par semaine pendant un an, souligne-t-elle. Les élèves se fixent des objectifs, comme pouvoir se faire comprendre lorsqu’ils voyagent, développer une compétence pour leur travail, ou simplement découvrir une autre culture. Et même à l’âge adulte, une fois qu’ils ont un objectif à atteindre, les élèves peuvent faire de gros progrès, s’ils s’impliquent assez. »
Pour cela, beaucoup de cours se déroulent en dehors des murs. « Pour les enfants, on peut, par exemple, aller sur le marché pour apprendre les aliments, mais il y aura aussi des ateliers sportifs, de cuisine, des cours de premiers secours ou encore des entraînements pour savoir comment se présenter en public ou lors d’un entretien. » Autant d’activités qui visent à rendre les élèves actifs et à les pousser à communiquer. « À l’école, souvent, les élèves ont peur du ridicule ou de faire des erreurs, lorsqu’ils s’expriment, indique Dora Vinérier-Boc. Nous voulons combattre ça, en montrant que la langue n’est pas un art, mais un outil. »